Le Garçon et le monde

Film d’animation brésilien d’Alê Abreu distribué par Les Films du Préau. 1h22. 2013. A partir de 7 ans.

Synopsis

À la recherche de son père, un garçon quitte son village et découvre un monde fantastique dominé par des animaux-machines et des êtres étranges. Un voyage lyrique et onirique illustrant avec brio les problèmes du monde moderne.

Prix et nominations

Festival du film d’animation d’Annecy 2014 : Cristal du long-métrage et Prix du public

Nominé pour l’Oscar du Meilleur film d’animation en 2016

Critiques

« Plongée onirique, poétique et virtuose dans un univers riche et singulier. » Les Fiches du Cinéma


« Difficile, avec des mots, de rendre compte de la richesse du film, qu'elle soit musicale ou graphique [...] Émouvant, fascinant. » Positif


« Un pur moment de grâce, de temps suspendu. Un bonheur total. » Télérama


Note sur le réalisateur

Alê Abreu, né en 1971 à São Paulo, est un réalisateur et scénariste brésilien. Il réalise en 1993 son premier court métrage, Sírius, qui est présenté la même année au Festival de cinéma d'animation brésilien Anima Mundi. En 1998, il réalise le court métrage Espantalho, qui remporte un prix au festival Anima Mundi et un deuxième au Festival de cinéma brésilien de Miami. En 2007, Abreu réalise son premier long métrage, Garoto Cósmico, auquel participent plusieurs acteurs et chanteurs brésiliens tels que Raul Cortez, Arnaldo Antunes, Vanessa da Mata ou Wellington Nogueira en prêtant leurs voix aux personnages. En 2010, Abreu écrit en collaboration avec Priscilla Kellen le livre pour enfants « Mas Será que Nasceria a Macieira? ». Il a également illustré plusieurs livres, dont « As Cocadas » de Cora Coralina, « O menino que espiava pra dentro » de Ana Maria Machado et « O mistério do 5 estrelas », de Marcos Rey. En 2013, il sort son deuxième long métrage, Le Garçon et le Monde. Une langue imaginaire a été inventée pour les besoins du dessin animé, il s'agit en fait du portugais qui est prononcé à l'envers.

Projections

Proposé en séances scolaires.

Bande annonce